Le défi
Auparavant, le service de police de Vancouver conservait ses
données critiques dans différents systèmes de gestion des
dossiers qui ne communiquaient pas entre eux. Le nécessaire
transfert manuel des données d'un système à l'autre créait à
la fois une importante surcharge de travail et une duplication
des données.
Ces îlots d'information nuisaient également aux enquêtes,
car des éléments critiques, disséminés dans plusieurs
juridictions, étaient difficiles à trouver et à regrouper.
Quand on parvenait enfin à le faire, l'information était
souvent devenue désuète et inutile.
Cet accès limité aux données faisait en sorte qu'un policier,
de retour au travail après un congé de quelques jours, pouvait
difficilement savoir ce qui s'était passé durant son absence.
Pour améliorer la situation, le Service devait simplifier les
techniques d'analyse et éliminer les recherches manuelles.
Il fallait également accroître les capacités de cartographie
et d'analyse de façon à ce que les agents puissent recueillir,
regrouper, évaluer et analyser les données utiles.
Les policiers de Vancouver ont maintenant
accès à des données en temps réel et à de
puissants outils d'analyse géospatiale
Avant qu'ils adoptent une technique de maintien de l'ordre axée sur le
renseignement, les analystes et les enquêteurs du Service de police de Vancouver
passaient un temps considérable à fouiller dans des centaines de dossiers, à la
recherche de corrélations qui les aideraient à résoudre un cas. Pour remplacer cette
méthode longue et coûteuse, préciser les analyses et mieux déployer les ressources,
le Service a mis en place un entrepôt de données contenant des renseignements
judiciaires à l'échelle provinciale. Afin d'élargir l'accès à ces données et à des
fonctions cartographiques en libre-service, il a eu recours à la technologie SIG
d'Esri et développé un tableau de bord novateur appelé GeoDash.
1 Esri Canada | Un tableau de bord de l'application de la loi qui facilite la lutte contre le crime